La légende veut que Taroudant fut appelée ainsi parce qu'une femme vit ses enfants emportés par une crue, "Taroua ddante" signifiant "Les enfants ont été emportés". Triste histoire... Nonobstant, j'ai été complètement charmé par cette ville.
On est dans le sud. Si la ville est active, on sent que la vie a ici un rythme plus posé, plus tranquille.
Un tailleur de pierre. Souvenirs pour touristes.
J'ai pris celle-ci à la volée pensant qu'il s'agissant de caractères arabes. Quand j'ai demandé à Khalid de quoi il retournait, il m'a dit : mais c'est du français ! En effet, mais je ne suis pas plus avancé. De quoi s'agit-il ? No lo sé. Détail amusant au premier plan : le chat qui fait ses besoins, l'air de rien.
Une rue de Taroudant.
Le marché au grain et un des vendeurs qui a gentiment accepté que je le prenne en photo.
Vue intérieure du souk.
Le marché des forgerons. Il n'y en a plus beaucoup et la photo coute quelques dirhams. On a alors droit à une pose martiale mais pas très naturelle.
Poteries et tajines. En voie de disparition d'après Khalid, les gens préférant des matériaux plus modernes, moins fragiles.
Amusant, non ?
Alors là, grand moment ! En s'approchant de l'étal de la boucherie, Khalid nous explique qu'ici la chair du mâle est plus prisée que celle de la femelle. Et de près, on voit comment on assure la clientèle de l'authenticité de la marchandise : les gesticules, comme dirait Coluche, laissées bien apparentes sont là pour en attester.
Un salon de coiffure.
Et l'extraction de la pâte des fruits de l'arganier qui sera ensuite utilisée pour réaliser moult produits de beauté.
samedi 12 avril 2008
Visite de Taroudant
Labels: Maroc
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