43 km aller-retour. Si je la refais un jour, histoire d'aller jusqu'à la Bérarde, je partirai un peu plus loin en me garant au début de la D530, la portion de route depuis Le Bourg d'Oisans ne présentant pas vraiment d'intérêt et étant de plus très fréquentée.
Mais tout de suite après on rentre vraiment dans l'Oisans et le Massif des Ecrins.
Il y a nettement moins de voitures mais aussi moins de commerces. Je suis arrivé tard et voulant partir rapidement, je n'ai rien pris à Bourg d'Oisans en pensant acheter un petit peu plus loin de quoi manger. Finalement, je me décide pour un petit en-cas dans un restaurant-hôtel au centre même de Venosc sur la route.
Mais très bien, avec terrasse extérieure, bonne adresse à retenir.
Bon, faut y aller. Et ça grimpe pas mal assez rapidement.
Ah, un peu de plat et en plus c'est magnifique !
Euh... Là, ça ne rigole plus. Ca va être vraiment raide !
En prenant de la hauteur, on voit bien les sentiers sur la montagne en face. Comme ici...
Ou là...
Pas de doute, ça monte vraiment très fort. Malgré mon développement de fainéant (22 x 34), je suis obligé de m'arrêter tous les 200 m. C'est marrant, ça a l'air plus haut vu d'ici que tout à l'heure vu d'en bas.
Un groupe de maisons, un hameau apparaît en face. Comment y va-t-on ?
C'est le Vénéon. D'ici on entend les rires et les cris des kayakistes.
Je continue, la pente de montée s'adoucit un peu, légèrement. Mais un ancien pont juste en dessous de la route m'incite à faire encore une petite halte.
Vue globale. Petit pont perdu...
... au mileu des glaciers.
Un petit zoom.
Après un dernier effort, Saint-Christophe-en-Oisans enfin ! Arrêt obligatoire à La Cordée, ne serait-ce que pour se régaler d'une tarte maison et de l'ambiance particulière qui y règne. Voilà, il ne reste plus qu'à faire une grande descente pour le chemin du retour.
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