samedi 1 décembre 2007

Lans-en-Vercors Autrans Méaudre Villard-de-Lans

Notre petite balade hivernale maintenant presque habituelle : Lans - Autrans - Méaudre - Villard - Lans. Environ 39 km. Avec halte repas à Autrans.


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Vue depuis la montée vers le col de la croix Perrin entre Lans et Autrans. Il fait très froid. La fumée d'un feu de coupe de bois forme comme un nuage sur la plaine.

Une fois arrivés au col il faut s'équiper pour la descente.

Il y a 2 minutes, pendant la montée, Claire était en T-shirt...

Je suis pas beau comme ça ? C'est un masque normalement utilisé par les surfers. Bon d'accord, je comprends que cela puisse effrayer mais c'est vraiment efficace contre le froid.

dimanche 7 octobre 2007

Pont-de-Claix Plaine de Reymure Vif

Une autre balade familiale, route tranquille et calme... L'urbanisation guette cependant, chaque année de nouvelles maisons apparaissent. Le départ se prend au Ridelet, c'est le point symétrique au magasin Champion sur l'axe qui va de Varces à Pont-de-Claix.


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Là commence la promenade des Eaux de Rochefort, sources naturelles de très bonne qualité.

Un des endroits préférés de Félix.

Parce qu'on peut grimper dans l'arbre.

Même si c'est un peu dangereux.

Et que, juste en dessous, il y a un petit gué qu'on se doit de traverser à chaque fois même si ce n'est pas le chemin.

On continue en longeant d'abord le Drac, puis son affluent la Gresse. A cette saison le rouge des feuilles est flamboyant. Particulièrement cette année.

Et de l'autre côté, les moissonneuses ont laissé dans les champs des alignements réguliers.

On prend la passerelle qui enjambe la Gresse juste avant Varces-et-Risset. Ca fait partie des petits plaisirs de la promenade.

On se régale du paysage.

Mais le vrai but de la balade est cet arbre auquel je ne sais qui a accroché une balançoire géante !

On y va !

L'amplitude est vraiment impressionante.

Voilà, il ne reste plus qu'à aller tranquillement à Vif, et si on a de la chance et qu'ils sont là, à faire une halte près des modélistes amoureux des modèles réduits d'avions et autres hélicoptères (sur la gauche dans le grand pré, 500 m après la balançoire).

Mais un de mes petits plaisirs est de prendre en photo, avant qu'ils ne disparaissent complètement, les pigeonniers de la plaine de Reymure.

Quatre étages.


Avec une porte d'entrée, s'il vous plaît !

Carrément dans la maison.

samedi 15 septembre 2007

Vassieux-en-Vercors Forêt de Die

Petit parcours sympathique que j'avais envie de faire depuis longtemps. Je pensais que ce serait facile mais bien que court (13km), c'était un peu trop dur pour Félix puisque la montée au Col de Font Payanne est très raide : on a dû pousser nos vélos.


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Départ de Vassieux-en-Vercors. Une précision la Forêt de Die dont je parle se trouve bien sur le plateau du Vercors et pas près de Die dans la plaine.

Petit coup au moral, c'est trop dur. On marque une pause.

Et voilà, il sufit d'attendre un peu et sa bonne humeur revient. Mais c'est vrai que cette montée est raide !
Après le col c'est quasiment tout plat et on se retrouve en pleine forêt, à l'ombre au milieu des mélèzes. Je n'ai pas d'autre photo que celle qui suit parce qu'on a mis trop de temps à monter, qu'il a commencé à faire très froid et que pendant un moment nous n'étions plus trop sûrs d'être sur le bon chemin malgré ma carte IGN. Bref, ce n'était pas le moment de traîner.

Retour à Vassieux sous le soleil : l'envers de la montée c'est une descente géniale.

samedi 18 août 2007

Chamaloc Romeyer Die Laval d'Aix Chatillon-en-Diois

Une belle boucle de presque 50 km avec pas mal de dénivellée et à réserver aux VTC équipés pour affronter les chemins.


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Départ de Chamaloc direction Romeyer par les Planneaux. Ca devient rapidement un chemin de terre et ça grimpe raide. Le but du jeu étant d'arriver au col sans poser pied à terre : il faut garder à la fois l'équilibre et son souffle...


Une fois arrivé à Die je prends direction tout de suite sur la gauche direction Sallières. Je ne monte pas jusqu'à l'abbaye de Valcroissant car je me suis fixé comme objectif d'aller à Châtillon-en-Diois et ce sera bien assez pour l'après-midi mais je reviendrai... Je retrouve la D93 un petit moment et reprend toujours à gauche vers Laval d'Aix. Surprenant ces ruines de château qui ont l'air de sortir de nulle part.


A Laval d'Aix, cette fois, je ne peux m'empêcher de continuer la route vers la montagne jusqu'à ce qu'elle se transforme en chemin de pierre. Et j'ai bien fait, le vieux village qui se trouve au bout, bien qu'un peu délabré, est superbe. Et ça sent bon la veille pierre.
Voilà, il ne reste plus qu'à continuer jusqu'à Châtillon-en-Diois. En fait sur les conseils de gens du coin, j'ai pris un petit chemin encore et toujours à gauche qui part de Saint Roman pour arriver au dessus de Châtillon, seule une partie figure sur la carte, Google n'étant pas assez précis. C'était un bon conseil, le passage au mileu des vignes est très beau mais aussi bien pentu et très caillouteux. Pour le retour j'ai pris tout du long la D93 et comme ça descend jusqu'à Die, on peut rouler assez vite sans forcer et les voitures ne gênent pas trop.

mardi 17 juillet 2007

La Loire à vélo 1 Tours Langeais

Forts de l'expérience de l'année précédente sur Le Canal du Midi, nous repartons cette année avec Félix pour encore un périple de 4 jours : Tours - Angers et retour à Tours en train le 5ème jour. Pour plus de renseignements voir La Loire à vélo.


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Premier jour : Tours - Langeais

Le moment du départ est plus serein, nous savons maintenant que le petit assurera.

C'est parti ! Une petite route tranquille traverse quelques hameaux avec leurs maisons en pierres de taille, la particularité de la région.

Il fait bon, dans d'autres régions plus au sud on dirait "C'est le printemps". Ici c'est simplement l'été. Des parterres de fleurs bordent le chemin.

En tout cas, les abeilles sont actives. Ce doit être ça le miel mille fleurs.

La route est agréable et nous découvrons quelques villages magnifiques.

Où après nous être approvisionnés nous faisons la pause repas.

Visite incontournable du château de Villandry réputé pour ses jardins. Pour en savoir plus : Le Château de VillandryC'est la pièce du château que nous avons trouvée sans hésitation la plus belle ou pour le moins la plus "habitable" : la cuisine, bien sûr. Remarquer le tourne-broche mécanique sur le côté de la cheminée.

Et voici un des jardins... il y en a un autre entièrement consacré au potager tout en gardant ce côté décoratif à la française mais je n'ai pas de belle photo. On s'en doute, c'est ce dernier qui m'a le plus intéressé. Ses légumes devaient être préparés dans la cuisine ci-dessus. Miam !

Infatigables nous repartons.

De bien belles barques ici :

et là :

Le dernier pont, celui de Langeais notre destination pour ce soir.

Vite ! Une partie de Game boy. Rien de tel pour se détendre après une rude journée.

La Loire à vélo 2 Langeais Bertignolles

Nous ne pourrions partir sans visiter le Château de Langeais, d'autant plus qu'il s'agit d'un des rares châteaux moyenâgeux de la région. Je traduis : avec tout ce qu'il faut pour faire la guerre, des créneaux, des meurtrières et autres mâchicoulis, donc intéressant quand on a l'âge de Félix.

En tout cas, nous avons beaucoup aimé et surtout les pièces de vie du château particulièrement bien aménagées et décorées. Les châteaux de cette époque sont trop souvent "brut de fonderie".

Vue de Langeais à partir du chemin de ronde.

La visite terminée, nous reprenons nos fiers destriers et atteignons Bréhémont qui "possède le plus ancien port pavé de Touraine, ancien village de chanvriers il est aussi connu pour ses mariniers, ses pécheurs aux engins et ses fameuses pissotières" d'après un amoureux du coin.

Ces barques sont en fait amarées et immobiles dans le courant. Comment monter à bord ? Bonne question. A la nage ?

L'heure du repas sur une aire spécialement aménagée. Sauf qu'une multitude de petites araignées heureusement inoffensives s'invitent à la fête. Incroyable, on ne peut s'asseoir 5 minutes sans être envahi.

Et nous continuons notre bonhomme de chemin sur de petites routes sinueuses et tranquilles.

Gros plan sur le petit panneau qu'on apprend vite à repérer.

Chercher son chemin après une journée de vélo malgré le plan préparé à l'avance est toujours un peu pénible. De plus nous sommes inquiets car nous savons que nous ne pourrons pas manger sur place. Nous finissons heureusement par trouver et la chambre accueillante nous remonte rapidement le moral.

Et, donc, puisqu'il faut bien se restaurer après une journée pareille, nous reprenons nos vélos et ne trouvons le premier restaurant qu'à Montsoreau, c'est à dire 10 km aller/retour en plus des 40 déjà effectués. Mais, décidément, Félix a la pêche et à part un sommeil de plomb cette nuit, rien à signaler...